20/07/08. Vallée de Chevreuse

C’est l’été, c’est dimanche donc c’est Vallée de Chevreuse. Hop, comme d’hab, on prend le RER jusqu’à St Rémy. Direction le Bois d’Aigrefoin avec la petite montée sans problèmes, puis on va rouler au-dessus de Cressely. Ce coin est sympa car il y a plein de singles qui partent dans tous les sens, mais au final on arrive toujours à Gomberville. On descends à travers la Forêt de Champfailly. On remonte sur la Forêt du Claire via une petite grimpette technique que j’ai bien négocié. On atterrit dans la Forêt de la Madeleine. Tranquille, on rejoint St Lambert en empruntant un bout du Chemin Jean Racine. Pas mal de vttistes dans le coin. Un bout de champ, un bout de route et me voilà dans le Bois de Champ Garnier. M’attend maintenant une bonne traversée de champs pour redescendre dans le Bois de Maincourt et emprunter le sentier à travers les roches. Quelques passages pas facile, les pieds ou le pédalier ayant tendance à toucher les rochers. Me voilà déjà sur Dampierre où je vais prendre un petit chemin de merde que je ne me rappelais plus. Il ne fait que grimper, ça va un peu près jusqu’à la moitié à travers la végétation mais ensuite ça devient beaucoup trop raide et il y des marches. Impossible à faire en vélo, on se remet donc en mode poussette. Je récupère ensuite le GR11 pour rallier Chevreuse. A ce moment là, j’aperçois un lapin sur le chemin en train de détaler. Une personne avec un petit chien, à côté, retient celui-ci. Le lapin continue, voilà un autre chien genre bâtard labrador, aussitôt il se met à courser le lapin. La maîtresse laissant faire 8-|. Je me dit que ça va finir en civet. Le chien et le lapin disparaissent dans la végétation. Je continue mon chemin et d’un seul coup, qu’est-ce que je voit au loin venant face à moi, le lapin suivit du chien. Je m’arrête, on ne sait jamais les réactions des chiens. Les deux animaux tournicotent autour de moi, le lapin sort de la végétation du bord du chemin et continue. Le chien lui est resté empêtré dedans. Résultat, j’ai peut-être sauver la vie au lapin et la maîtresse, elle, à mon avis a dû chercher son chien un bout de temps. Elle aurait mieux fait de le tenir en laisse. Pour cette sortie, le ciel était assez gris, j’ai eu droit d’ailleurs à quelques gouttes, et il faisait bien frais ce matin.

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