Un petit manque de motivation se fait sentir malgré tout je pars me dérouler les jambes. La récup en ce moment n’est pas au top à cause de la chaleur et du mauvais sommeil. D’autre part un petit problème récurrent d’induration périnéale qui a du mal à se soigner m’embête un peu. Je prends le carbone aujourd’hui et direction Vauhallan et le single de Favreuse avec toujours le coin marécageux en-dessous les pylones. Puis de l’autre côté de la N118, je prends le single du Chat Noir. Ce sera une erreur monumentale à ne pas refaire. En effet je prends rarement ce chemin à cause de la boue en hiver et surtout de la végétation. Et ça n’a pas loupé, les 100 premiers mètres sont impraticables, il faudrait y aller à la machette ! Idem un peu plus loin et au bout de ce chemin. J’ai rarement vu des ronces aussi grosses, résultat: j’arrive à préserver mes bras mais bonjour les griffures aux jambes 🙁 J’arrive au Bois Chauveaux que je descends par la droite. Soudain j’entends pschiiiit… Pas habitué au bruit vu que je crève rarement, là il faudra moins de 10 secondes pour me retrouver à plat à l’arrière. Chouette ! 20 minutes après je ne suis toujours pas reparti à cause d’une pompe récalcitrante. Finalement je rejoins la Forêt de Verrières mais je sens bien les cailloux et j’ai l’impression de rouler ovale. La pression ne tiens pas à l’arrière, je m’arrête pour regonfler un coup et décide de rentrer. On fera mieux pour la prochaine sortie 😉
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