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Ciel assez couvert pour ce matin, qui ne s’éclaircira qu’en début d’après-midi. Je m’en vais direction Vauhallan, Rigole Domaniale, Christ de Saclay pour atterrir à Villiers-le-Bâcle. Une bonne petite boucle dans la Vallée de la Mérantaise m’attend en passent par Châteaufort et Magny-les-Hameaux. Au fond de la vallée il y eu beaucoup de coupes d’arbres et les chemins sont bien défoncés par les engins forestiers. Comme toujours le coin est boueux. On roule dans la Forêt de Port-Royal. Retour en passant au-dessus du poney-club le long de la D95, en direction de la sablière que je surplombe et je ressors finalement du Bois des Grais. Je rejoins à nouveau Villiers-le-Bâcle par la côte du Chemin de Billlehou. Au Christ j’emprunte la piste cyclable le long de la N118 et me re-voici à Vauhallan. D’un seul coup j’entends un bruit bizarre à l’arrière, je m’arrête quelques mètres plus loin le pneu arrière à plat: un beau clou ayant traversé la chambre 🙁 Très bon parcours avec du VTT physique, du dénivelé et des jambes qui répondaient présent 😉

PS: petit problème d’APN donc pas de photos :-(((

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Me revoici cette fois tout seul au commande de mon M4. J’ai récupéré une trace sur Utagawa qui m’a l’air par mal. C’est parti donc en direction de la Forêt d’Angervilliers puis la Bâte, Bois de Rochefort, Moutiers et je suis maintenant dans le Domaine de la Claye. Superbes paysages avec des terrains sablonneux, des fougères à foison, des bruyères, des pins, … et pas une âme qui vive aux alentours. Je redescends par le GR1 vers St Arnoult. GR qui se termine sur une clôture barbelée aux pieds d’une carrière ! Jusque là, j’aurais parcouru 25 kms de sable légèrement collant avec la pluie d’hier. Une fois l’A10 passée, je suis en Forêt Domaniale de Dourdan où je n’ai encore jamais posé mes crampons. Je traverse une partie de cette forêt d’Ouest en Est jusqu’à longer la gare RER de Dourdan-la-Forêt où le sable refait son apparition 🙁 Heureusement ce sera de courte durée, quelques traversées de champs et sous-bois me ramène vers un sentier le long du TGV pour rejoindre la Forêt d’Angervilliers puis Bonnelles. Excellent parcours si l’on fait abstraction du terrain sablonneux de ce coin qui fatigue assez vite les mollets. Je roule en Toro AV et Ignitor AR, pneux assez polyvalents et je peux malgré tout vous dire que par moments je ne voyait plus mes crampons. D’ailleurs quels sont les meilleurs pneus pour le sable ?

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Un petit manque de motivation se fait sentir malgré tout je pars me dérouler les jambes. La récup en ce moment n’est pas au top à cause de la chaleur et du mauvais sommeil. D’autre part un petit problème récurrent d’induration périnéale qui a du mal à se soigner m’embête un peu. Je prends le carbone aujourd’hui et direction Vauhallan et le single de Favreuse avec toujours le coin marécageux en-dessous les pylones. Puis de l’autre côté de la N118, je prends le single du Chat Noir. Ce sera une erreur monumentale à ne pas refaire. En effet je prends rarement ce chemin à cause de la boue en hiver et surtout de la végétation. Et ça n’a pas loupé, les 100 premiers mètres sont impraticables, il faudrait y aller à la machette ! Idem un peu plus loin et au bout de ce chemin. J’ai rarement vu des ronces aussi grosses, résultat: j’arrive à préserver mes bras mais bonjour les griffures aux jambes 🙁 J’arrive au Bois Chauveaux que je descends par la droite. Soudain j’entends pschiiiit… Pas habitué au bruit vu que je crève rarement, là il faudra moins de 10 secondes pour me retrouver à plat à l’arrière. Chouette ! 20 minutes après je ne suis toujours pas reparti à cause d’une pompe récalcitrante. Finalement je rejoins la Forêt de Verrières mais je sens bien les cailloux et j’ai l’impression de rouler ovale. La pression ne tiens pas à l’arrière, je m’arrête pour regonfler un coup et décide de rentrer. On fera mieux pour la prochaine sortie 😉

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Après l’orage d’hier, retour au calme et au beau temps pour ce matin et direction la gare de St Rémy. Je prends l’ancienne voie ferrée pour descendre jusqu’à Pecqueuse puis toujours par le GR11, Villevert et Bonnelles. Petit coucou au beauf (qui a roulé hier matin sous la pluie !) et à soeurette, et je continue mon chemin. La Bâte, Forêt d’Angervilliers via le Chemin de Châtres, le terrain est légèrement lourd mais ça aurait pu être pire. Voilà le poney club de Les Bruyères avec ses nombreux chevaux. Machery, je repasse sous le TGV et l’A10 et me dirige vers Forges-les-Bains. Sur le chemin, ma pédale droite heurte une pierre et m’envoie rejoindre le sol. Une bonne buche comme il y avait longtemps que je n’avais pas eu 🙁 Je me relève doucement avec une bonne douleur au genou gauche et le cintre de travers. Quelques mètres plus loin, je m’aperçoit qu’un arceau de ma pédale est cassé, ça du bien tapé ! Je remonte maintenant le bois de Limours pour récupérer un peu plus loin le sentier qui longe l’ancien aérotrain. La végétation a complètement envahi le chemin et on n’y aperçoit à peine la trace ! Après cette longue ligne droite, voilà enfin Gometz-la-ville. Je termine mon parcours par le Parc de Montjay et le viaduc des Fauvettes pour finalement récupérer le RER à la gare de Bures/Yvette. A cause de la pluie d’hier, certaines portions de chemin étaient bien lourdes, ça roulait mais pas super vite pourtant la moyenne ne s’en ressent pas probablement à cause du peu de dénivelé. Par contre j’ai fais l’erreur (pour la deuxième fois !) de laisser le Python à l’arrière 🙁 Cette fois c’est décidé je remonte mon Ignitor (passe-partout) qui terminera la saison car il commence à montrer des traces d’usure. Le Python est pour moi finalement trop exclusif, je n’y adhère pas et comme je n’ai pas envie de changer de monte à chaque fois, autant privilégié la polyvalence. Sur ce bon Dimanche, quant à moi à cause de ma chute mes séances vélotaf risquent d’être compromises…

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Ca y est, l’été est enfin là ! Le soleil aussi après s’être caché parmi les nuages. Trois séances de vélotaf cette semaine, ma sortie du w-e commence donc avec déjà 110 kms dans les jambes. Direction la vallée de Chevreuse, mon terrain privilégié à cette époque de l’année. Après Chevreuse, je récupère le GR11 jusqu’à la Butte Ronde où je prends le chemin qui mène nulle part. En fait si, il faut se frayer un chemin à travers les troncs d’arbre pour débouler derrière le lavoir du sentier de Maincourt. Attention la petite passerelle est cassée, on se demande bien comment cela pu se produire ?! Je redescends vers Fourcherolles jusqu’en haut des Vaux de Cernay. Quelques chemins bien ludiques à travers les fougères et quelques coups de cul. Je croise à plusieurs reprises la voie cyclable. J’arrive sur un sentier en descente bien crevassé, sablonneux et caillouteux. Pieds à terre obligatoire. Idem dans l’autre sens cette fois-ci. Je me trouve maintenant à Les Petites Molières pour rejoindre le Bois de l’Etrille. On déboule sur le poney club de Girouard, ensuite une bonne descente vers le Pommeret. Vers la Ferme de Bellepanne, début de chemin un peu merdique où je me demande si je ne suis pas dans une propriété ? Finalement je retrouve mes marques et le haut du Bois du Maincourt puis un peu plus loin la Brosse. Direction la Forêt de la Madeleine et les Hauts de Chevreuse pour terminer ce parcours. Superbe circuit où tout les ingrédients du VTT étaient présents. Cette après-midi, c’est sieste et championnat de France de cyclisme sur FR3. Bon dimanche 😉

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Départ matinale aujourd’hui pour un circuit en vallée de Chevreuse. Direction Forêt de Méridon pour rejoindre Choisel en faisant le tour du parc du Château de Breteuil. Première constatation: le terrain est bien boueux, moi qui pensait que le sol aurait bu les pluies de ces derniers jours c’est raté 🙁 Il va donc falloir se salir et deuxième point, le Python à l’arrière qui allait si bien la semaine dernière… et bien chasse du cul. Sur ce je descends à fond sur les Vaux de Cernay mais ne m’y attarderait pas. Je remonte ensuite sur Fourcherolles. A noter que depuis Méridon de (trop) nombreuses rubalises sont bien visibles. Un reste ou un évènement à venir ?? Me voilà donc à la Butte Rouge, la Maison de Fer puis la Butte Ronde. Là je bâche une portion de parcours, je ne connaitrais donc jamais ce satané single des dix-sept tournants ! Je rejoint St-Lambert où je croise à plusieurs reprises une cohorte de très vielles voitures. Sympa. Voilà maintenant le Chemin Jean Racine embouteillé par des groupes de randonneurs pédestres. Je bâche à nouveau, vu la contrainte horaire des RER, vers Milon-la-Chapelle pour redescendre vers le Château de la Madeleine et rejoindre ensuite mon point de départ à la gare de St-Rémy. Quelques grimpettes sur cette sortie mais surtout beaucoup de ‘poussettes’, en partie la faute au terrain trop humide rendant le sol trop lourd et manquant cruellement de grip à cause de ma monte arrière. Vivement l’été pour qu’enfin le soleil s’installe durablement 🙂

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