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Après une semaine de velotaf, il me reste encore des jambes – et de la motivation – pour ce matin bien grisaille. En fait il n’y a pas de secrets en cyclisme, plus on roule mieux on roule 😉 De la pluie cette nuit ne devrait pas nous favoriser le terrain. Direction Vauhallan, le tour de La Martinière et me voilà dans le Bois de la Guyonnerie. Terrain humide et gras, la rentrée s’annonce bien boueuse. Je rejoins le Bois d’Aigrefoin puis le Plateau de Chevincourt et le Plateau de Beauplan. Quelques chemins ruraux et je remonte sur Châteaufort. Je longe ensuite le Golf de Toussus, près de l’aérodrome où je croise plusieurs mobylettes en train de faire la course ! Un bout de champs ou plutôt de terrain militaire (!) et direction Jouy-en-Josas. Un peu plus loin je remonte vers le Domaine de Montéclin puis redescends vers Bièvres, Igny. Résultat: encore 60 kms bien avalés. Je rentre à la maison complètement crottée pour en repartir aussitôt aller laver le vélo à la station carwash.

PS: suite du feuilleton de ce blog, épisode 4 🙂 Hier j’ai vérifié mes roulements de ma roue avant: RAS. Toujours ce bruit localisé sur le pédalier. J’en reviens donc aux roulements (?) ou alors les roulements de mes pédales. Mais toujours les mêmes questions: pourquoi pas de bruit en continue, en statique et en roue libre ?
A suivre…

Hello, profitons de cette semaine bleue pour velotaffer un peu. Je prends mon tout rigide remonté en config VTT. Les cuisses tirent encore un peu. Par contre velotaf un peu galère aujourd’hui 🙁 Ce matin ma roue avant se desserre, faute à une attache rapide antivol dont j’ai pas encore compris la subtilité. Et ce soir à la descente de mon RER, j’ai le pneu arrière quasiment à plat. J’essayerai de regonfler en chemin mais ma pompe me fait défaut :-c Ce sera donc un peu rock’n roll à l’arrière, à la limite du déjantage mais tant pis je verrai ça à la maison. Et j’ai vu une petite entaille dans mon Python. Une rustine à l’intérieure, super-glue à l’extérieure, espérons que cela suffira. Surprise demain matin 😉

Le ciel bleu est de retour cette fois-ci mais des températures fraiches sont annoncées. Ce qui ne sera pas forcément ressenti sur le terrain. Je n’ai pas encore tombé la veste polaire pour ce Dimanche. Direction Palaiseau, Villiers et un petit tour dans la Forêt de Saulx. Je descends le sentier du PR aux Rochers de Saulx à pieds, il faudrait vraiment un vélo de DH pour la descendre celle là ! Bois de la Turaude, de St-Eloi et ensuite le Gros Chêne avec au passage un gros chien qui veut pas me lâcher. Ensuite un peu de roulant sur la D35 et sur la plaque à suivre deux routiers devant moi. Bout de champs, D3 au-dessus de la Francilienne, re-bout de champs et me voilà à Janvry. Je croise un groupe de randonneur pédestres en direction de St Jean-de-Beauregard où m’attends la montée du cimetière. Les derniers mètres sont dur mais je crois bien que c’est la première fois que j’arrive à la grimper en une seule fois 🙂 Je rejoins CC2 aux Ulis où je tourne un peu en rond vers Mondétour. Je retrouve le Bois Persan à Orsay où pour la deuxième fois je me trompe encore de sentier et roulerait le long de la N188. Montée vers Lozère et montée de la Vauve finiront de m’achever. Les cuisses commencent à avoir un peu de mal. Heureusement la fin est proche via Gommonvilliers et la voie de la Vallée de la Bièvre. Encore une bonne sortie où j’ai pu apprécié mon entrainement hivernal.

PS: à mi parcours mon bruit bizarre est encore revenu 🙁 En fait j’ai du mal à localiser la chose. Après avoir penser à la transmission (pédalier, galets, K7) et à la roue arrière, maintenant je dirais que le bruit vient de l’avant (roulements de la roue avant ?). Bref il va falloir que j’y remédie une bonne fois pour toute car cela commence à devenir agaçant.

Hello, je roule exceptionnellement ce Samedi matin pour cause de repas familial demain. Mal dormi cette nuit et sans ma journée de pause, je me dis que cette sortie risque de se ressentir dans les jambes. La suite me donnera agréablement tort. Il fait beau ce matin et c’est avec une couche en moins que je m’élance. Je pense que la semaine prochaine je pourrais tomber la veste polaire. Je rejoins la Forêt de Verrières et le single le long de la N118. Il y a un passage qui est devenu impraticable et le reste du chemin a été tassé avec des caillasses, ce qui n’est pas des plus agréables. Je ne comprends pas pourquoi des travaux forestiers durent à la fois si longtemps (!) et sont toujours aussi dévastateurs pour la nature. Vive les engins forestiers ! En tout cas les jambes répondent bien dans cette succession de montées/descentes, une belle petite d’ailleurs où le compteur est monté à 56km/h. Ensuite je redescends sur Bièvres pour remonter dans le bois mais pas par la montée habituelle mais par un single sympa que l’on prends un peu plus loin. Après c’est le Domaine de Montéclin, Jouy-en-Josas, le Bois de l’Homme Mort et le bas du Bois des Metz. Un peu plus loin je longe le Golf de St Marc avec la montée au bout enquillé sans problèmes. Ferme d’Orsigny et ensuite une longue traversée de champs, heureusement le terrain est sec… et il n’y pas de vent 🙂 Hop, je me fait le bas du Bois Communal de St Aubin et un petit sentier le long de la Mérantaise près d’un site du CNRS. Après ce sera un peu de roulant, bienvenue, vers Gif/Yvette jusqu’à Bures/Yvette où m’attends la remontée du Bois de la Guyonnerie. Corbeville jusqu’à la Vauve, direction Gommonvilliers et je retrouve mon chemin du retour. Très bonne sortie où les jambes étaient bien là, j’ai bien géré l’effort. IGN Rando m’affiche un D+ de 921, comme toujours peut-être un peu optimiste mais avec une moyenne de 14km/h je pense que mes kms de route ont payés. J’espère en tout cas garder cet acquis de performance durant toute la saison. Bon ride surement sous la pluie pour ceux qui n’en ont pas profité ce matin 😉

PS: le bruit bizarre de la semaine passée est encore revenue sur la fin du parcours, à priori c’est localisé sur le roulement droit du pédalier. Un petit remplacement s’impose je crois.

Enrhumé durant toute la semaine, je récupère malgré tout quelques ressources pour ma promenade dominicale. Première sortie VTT depuis le début de l’année, j’enfourche le SR en carbone pour retrouver mes marques. Le soleil est là mais toujours ce vent qui ne veut décidément pas partir, bien que dans les bois il se fait moins sentir. Les jambes répondent présent, le cardio lui peut mieux faire, effet du rhum probablement. C’est parti direction Verrières en passant par la Butte au Noisette. Première côte puis descente sur Igny. Je remonte ensuite par les Bois Brulés vers Vauhallan. Le terrain est correct, quelques endroits un peu plus labourés mais dans l’ensemble ça ira. Montée de la Tour, la Vauve, montée vers le Guichet et je suis dans le Bois de la Guyonnerie. De Bures/Yvette je rejoins Orsay en empruntant le Bois de la Cyprenne et le Bois Persan. Ensuite, remontée sur Lozère, de nouveau la Vauve et passage derrière Polytechnique. Un peu plus de boue dans ce coin mais je ne l’ai jamais connu sec ce chemin ! Un petit tour dans la Forêt de Palaiseau et c’est déjà le retour. Bilan les jambes ont bien suivi dans les côtes, le D+ est là car c’est un peu mon objectif d’en faire un peu plus que les années passées. Par contre quelques petites erreurs techniques et la moyenne est pas terrible 🙁 Bon ride et à la semaine prochaine…

PS: un bruit très bizarre (frottement ?) s’est fait entendre sur la fin de mon parcours. A regarder de près.

Temps pas terrible pour ce Dimanche mais pas impossible pour le vélo. C’est motivé pour un parcours de 100 bornes que je m’élance en Vallé de Chevreuse. Départ classique jusqu’au Christ de Saclay, Villiers-le-Bâcle, Gif, St-Rémy. Je continue ensuite vers Chevreuse en passant devant le Château de la Madeleine puis D906 vers Choisel, Cernay-la-Ville. Je bifurque ensuite vers St-Robert pour arriver à Les Bordes. Là je croise le parcours du Semi-marathon des Lions que je suivrais jusqu’à l’arrivée à Bullion. Pas facile car avec la masse des participants, une voie de la route a été neutralisée sur le parcours et avec les quelques rares voitures en contre-sens et autres vélos tout ceci me ralentira un petit peu. Malgré tout c’est sympa de voir tous ces gens (et croyez moi je n’ai jamais vu autant de joggers de toute ma vie) se faire plaisir dans leur sport. Je traverserais donc une partie de la Forêt de Rambouillet en passant par Clairefontaine, Les Moutiers, Bullion. Passer Bonnelles et Longchênes, c’est maintenant de longues lignes droites qui m’ont paru interminable avant de rejoindre Les Molières. C’est clair qu’on se sent un peu seul sur les routes de campagnes au milieu des champs. Une fois Les Molières atteint, ce n’est plus qu’une formalité jusqu’à la gare de St-Rémy-les-Chevreuse. Et c’est là que mon périple s’arrêtera, retour maison par le RER après 70 bornes. En fait c’est surtout mon périnée qui m’a dit stop on n’arrête là 🙂 Ensuite vu l’heure j’aurais du surement rouler encore une heure et demi et m’aurais fait rentrer tardivement. De plus il est indéniable que le SS ça use ! Voilà je m’avoue donc vaincu pour cette fois-ci, je pense que j’ai atteint la limite du SS de route avec mon vélo hybride. Bientôt je vais ressortir le VTT et pourrais apprécier (surtout dans le D+) si cela a été bénéfique ou pas. Mais dans tout les cas l’hiver prochain se fera très certainement sur un vrai vélo de route 😉

Temps humide et léger brouillard, j’hésite un peu ce matin mais j’enfourche tout de même mon hybride-route. Je déroule jusqu’à Igny, Bièvres, Jouy-en-Josas et je remonte sur Val d’Albian. Les derniers mètres pour rejoindre cette commune se feront à pieds, trop raide pour du SS en 36×19. Cela fait d’ailleurs depuis trois sorties que j’ai adopté ce braquet passe-partout. Ensuite je me fait la traversée de l’étang de Saclay et je remonte la voie cyclable le long de la N118. Direction Vauhallan et le Christ de Saclay. Il faut savoir utiliser l’environnement autour de soi pour faire des kilomètres 😉 Désormais c’est descente de Villiers-le-Bâcle vers Gif. Mais auparavant il y aura la montée vers le site du CNRS, en petite foulée à 10 à l’heure. St-Aubin, le Moulon, je redescends de nouveau sur Gif. Là je bâche involontairement un morceau de mon parcours en tournant un peu trop top sur ma gauche. Je rejoins la gare du Guichet pour enquiller la côte remontant sur Corbeville. Après ce n’est que du plat, D128, D36, descente vers le Pileu et me voilà de retour du côté d’Amblainvilliers. Encore quelques km dans Verrières et retour maison. Du dénivelé encore présent pour ce circuit avec une moyenne légèrement en baisse. Le VTT commence à me manquer un peu mais je maintiens mon objectif route jusqu’à la fin du mois (peut-être début Mars suivant la météo) avec comme challenge de faire une sortie à 100kms.

Les températures sont remontées pour ce w-e mais le vent est toujours présent, j’aurais pu garder le titre de mon billet de la semaine dernière. Aujourd’hui je change de coin pour mon parcours de 70 bornes. Départ direction Champlan par la D59 puis Villebon/Yvette par une petite côte qui m’amène près du dôme. Je me dirige ensuite vers le transfo de Villejust puis Fretay et je descends jusqu’à Janvry. La route n’est pas toute plate dans le coin. Je croiserais beaucoup de routiers ce matin, notamment des clubs entiers accompagnés d’une voiture (et parfois d’une moto !) d’assistance. On se croirait presque sur le Tour de France. Je ferais une petite boucle pour revenir sur Marcoussis puis direction Nozay. J’emprunte une rue en sens interdit et me voila au CC de La-Ville-Du-Bois. Ensuite voie cyclable jusqu’à Villiers/Orge. Gare de St-Geneviève-des-Bois, je remonte sur Epinay/Orge, Ballainvilliers. Je me dirige enfin vers Gravigny pour passer sous l’A6, longer Morangis et traverser Chilly-Mazarin (commune d’ailleurs assez moche 🙁 Je récupère la voie cyclable le long la D120 qui me ramène devant Cora à Massy et je termine par une petite boucle avant de rentrer. Encore une fois bon parcours, je suis rentré moins fatigué que la semaine dernière pour la même distance. IGN Rando m’affiche un D+ assez optimiste mais réconfortant 🙂