VTTUATU, blog de VTT en IdF

Les jambes un peu fatiguées, je n’ai pas trop envie d’aller loin pour ce matin. Je récupère un parcours de “renardcool”, un vttiste que j’avais croisé l’année passée à cette époque. Bon j’adapte un peu la chose côté kms et D+ pour mes jambes car le gars roulait trop fort pour moi. Je passerais donc par Vauhallan, le Bois de la Guyonnerie. Je redescends vers Gif pour remonter dans la forêt puis Bois d’Aigrefoin. La sablière où le nettoyage de tout le bois coupé est en bonne voie. D’ailleurs j’ai halluciné en passant à côté, je crois que depuis que je roule je n’ai jamais vu un tel empilement de bois ! C’est impressionnant. Je continue vers Châteaufort en empruntant une trace dans une portion privée me ramenant sur le chemin rural 10. Au passage je passe dans un coin visiblement de paint-ball. Je remonte ensuite vers le Golf National que je longe, Toussus-le-Noble et son aérodrome puis je reviens vers Montbron et Jouy-en-Josas. Hop une petite grimpette, le Domaine de Montéclin, la descente sur Bièvres et la remontée par le Chemin de la Sygrie dans la Forêt de Verrières. Bon parcours que je trouve équilibré pour 900 de D+. Encore vu un chevreuil, un écureuil roux et trois chats 🙂

Retour à la Roche Turpin pour ce Dimanche matin afin d’essayer d’exploiter un peu mieux le coin. Je pars de la gare RER d’Orsay, direction St Rémy où je vais remonter le single sympa de la Guiéterie. Ensuite, c’est le plateau de Chevry et on remonte par la piste cyclable sur Gometz. Un peu de route et me voilà dans la Forêt Communale de Briis-sous-Forges. Chouette petite forêt. Je me dirige maintenant vers la Roche Turpin. C’est une (trop) belle forêt pour y pratiquer le VTT. Fougères, bruyères et autres épineux et rochers se côtoient. Très vite je me retrouve à “jardiner” et à mettre pieds à terre car je n’arrive pas à suivre la trace (invisible !) des singles. J’ai récupéré le trajet sur le net et franchement je pense qu’il faut bien connaître le coin pour en profiter. Là j’ai vraiment été déçu, je me suis retrouvé à pousser le vélo dans la végétation pour récupérer un sentier. Bref au final je trouve que cette forêt, trop belle par sa nature, ne correspond pas pour une pratique VTT. Je continue mon chemin par les allées de chasse (attention aux pièges) puis au bout d’un moment je me rends compte que je ne suis dans le bon sens. Hop demi-tour avec au passage un petit crachin qui s’invite 🙁 Après cette perte de temps, je remonte sur Janvry et traverse le Bois de Montmarre. Petit bois où quelques animaux exotiques s’y reposent, notamment des wallabys blanc ! Plus que la montée du cimetière à St Jean-de-Beauregard puis le viaduc des Fauvettes et me voilà à mon point de retour. Bon dimanche.

Retour en Forêt de Sénart aujourd’hui mais cette fois avec des chemins secs ! Ce qui est tout de même plus agréable. Je pars de la gare RER de Savigny/Orge, traverse la N7 et longe ensuite la Seine. Attention à Port Longuet, la passerelle est en travaux… ce qui ne m’empêchera pas de la prendre tout de même. Pas envie de faire un détour ! Je me dirige doucement vers la Forêt de Sénart, en passant par Champrosay, le Bois Chardon et relonge à nouveau la Seine jusqu’à Les Coudrays. Après je remonte vers le golf d’Etiolles jusqu’à la Faisanderie. Je me tape ensuite une longue voie goudronnée et j’attaque le single le long de la N6. Chemin sympathique quoique… En effet à divers endroits, c’est plutôt crado parce que tout simplement c’est des coins à p…s ou autres travestis. Et oui c’est assez connu le long de cette nationale. D’ailleurs à hauteur de la Route Forestière d’Antin, elles (ils?) sont là à attendre le client, je ne prolonge donc pas plus loin. Je vais traverser la N6 un peu plus loin au feu rouge. A noter qu’à ce feu, le bonhomme passe jamais au vert et on se demande si certains automobilistes se rappellent encore ce qu’est un feu rouge 🙁 Je vais maintenant faire une petit portion bien sympa le long de l’Yerre, entre Epinay/Sénart, Boussy-St-Antoine, Quincy/Sénart. Je reviens ensuite dans la forêt, une longue ligne droite puis retraversée de la N6. Là je longe encore la nationale mais c’est plus propre par ici. Et c’est plus rythmé aussi, en fait dans cette forêt soit on cherche sa trace car les chemins recouverts de feuilles ne sont pas très visible, soit ce sont des singles très ornièrés. Donc des creux, des bosses, des racines qui obligent à relancer souvent et ça devient vite usant. Plus que quelques longues allées avant de me retrouver au Cimetière de Sénart qui se trouve à Draveil ! Parce qu’en fait je viens de me rendre compte qu’il n’y à aucune commune qui s’appelle Sénart. C’est une ville nouvelle qui regroupe une dizaine d’autres communes. Voilà, retour ensuite à la gare de Savigny. Bon parcours si ce n’est le long de la N6. Bon ride…